Voyage au Vietnam en solo [03.05.25 : Nouvelle cabine Business Etihad & Visite d’Abu Dhabi]

Le réveil sonne à 5h30 ce matin, c’est beaucoup trop tôt, mais j’ai malgré tout bien dormi ici, au rythme des décollages d’avions.
Je termine de préparer mes affaires et entends finalement le téléphone sonner à 5h45, comme demandé, sauf que je n’entends rien au bout du fil. Personne ne sera venu frapper à ma chambre en revanche.
Je regagne la réception pour faire mon check-out, qui sera rapidement expédié. Certains ont des petits-déjeuners à emporter, mais je n’aurai pas cette option pour ma part. Ce n’est pas grave, je vais manger au salon.
Peu avant 6h, la navette arrive et nous sommes nombreux à monter à bord. Le trajet sera assez rapide puisqu’il s’arrête en tout premier à KLIA 1.
Il est 6h10 lorsque nous sommes déposés devant l’aéroport. Je prends l’ascenseur pour rejoindre le 5e étage, celui des départs. Je commence à bien connaître cet aéroport, il faut dire !
L’enregistrement d’Etihad n’est pas indiqué comme ouvert, mais je me dirige tout de même vers les guichets A, comme demandé. Finalement, il y a déjà une importante file pour la classe économique, je rejoins donc le guichet Business où c’est immédiatement à mon tour.
L’hôtesse me demande ma destination finale et s’empresse de tapoter sur son clavier pour étiqueter ma valise.
Elle me remet mon boarding pass ainsi que l’invitation pour le salon. Ce dernier est le Global Lounge qui se situe dans le terminal C, d’où mon vol partira. C’est une bonne chose, car en 2023 avec Qatar, j’avais été orientée vers le Plaza Lounge, situé dans le terminal principal. Le lounge était super, mais devoir prévoir de partir à l’avance pour changer de terminal, ce n’est pas terrible. En plus, ici, le PIF se passe en porte, il faut donc aussi l’anticiper.
On m’indique de me rendre en porte G1 pour emprunter la navette dédiée à la Business Class, je ne me souviens pas l’avoir empruntée la dernière fois avec Qatar, je n’avais donc sûrement pas eu l’information. Je me rappelle en revanche d’un bus bondé pour rejoindre le terminal éloigné.
Je pars passer l’immigration, qui sera traversée en quelques minutes avec les portiques. Je parviens finalement à trouver l’entrée vers la navette Business, elle est bien cachée au niveau de la porte G1.
L’espace d’attente est très classe, mais je n’aurai pas à l’utiliser, car le bus m’attend déjà. Je prends place à bord de cette navette avec de grands sièges, la même qui m’avait fait débarquer lors de mon arrivée.
Dans le bus, je regarde quel est mon appareil du jour, car il doit arriver à 8h à Kuala Lumpur, je le sais bien car c’était mon vol de l’aller. Quelle ne fut pas ma surprise de lire l’immatriculation A6-BNF sur Flight Radar… attendez, mais c’est un des trois Dreamliner à être équipé des nouvelles cabines ça ! Sur les 40 Boeing787 d’Etihad, seuls 3 disposent de cette nouvelle cabine avec les suites en Business. J’avais donc 7,5 % de chance que ça arrive, je suis vraiment trop contente !
Arrivée dans le terminal C, je me dirige vers le Global Lounge. L’entrée est cordiale et le salon est presque désert en cette heure matinale.

Tous les espaces donnent sur le tarmac, je choisis un grand fauteuil moelleux tout à l’extrémité, ce qui me permettra d’être tranquille.
Le lounge ne fait pas d’annonces, il faudra donc que je sois vigilante et que je compte aussi le temps de passer le PIF.
Le buffet se trouve tout au fond du lounge et est extrêmement complet. Même s’il n’est que 7h, il y a déjà des chefs en train de s’affairer. On trouve beaucoup de chaud mais aussi des classiques qui font plaisir, comme des céréales, du pain et de la confiture.
Le jour se lève sur l’aéroport, Qatar arrive au loin et vient se stationner au large, au milieu de MH et OD.
Je profite de mon petit-déjeuner avec vue, recharge mon téléphone et tape ces quelques lignes sur mon ordinateur.

Une dame se présente à moi pour me demander si je souhaite un massage. Je trouve ça très chouette de venir demander en personne au guest, j’avais eu la même chose au Plaza Lounge, ça personnalise encore plus l’expérience.
Je vois Etihad arriver, au moins je sais que mon appareil est bel et bien là maintenant.
Sur les coups de 8h10, je décide de quitter les lieux. Mon embarquement doit débuter à 8h35, mais je viens de recevoir une notification de l’application qui me signale que je dois me rendre en porte C3.
À mon arrivée, la file pour passer le PIF est immense. Les deux portes sont ouvertes, C1 et C3, ça occasionne un monde fou. C’est vraiment la pire des organisations de se retrouver avec le PIF à passer en porte. Il n’y a aucune file priority, mais une nouvelle file ouvre au moment où j’arrive, je gagne donc quelques places. Le PIF est heureusement efficace, mais 3 personnes pour contrôler 2 longs courriers, ce n’est pas énorme.
Les boarding pass sont bippés avant d’entrer dans la salle d’embarquement, et contrairement à 2023, cette fois je n’ai pas eu de carte déchirée, car celle d’Etihad ne se déchire pas. Yes !
Je prends place dans la salle où il y a bien assez de sièges pour tout le monde.
Mon oiseau du jour est juste derrière la vitre, le fret est en train d’être chargé au moment où nous patientons.
À 8h40, on nous indique que l’embarquement va bientôt débuter. C’est en effet à 8h50 que les pax Business Class sont invités à embarquer.

L’accueil est très gracieux en porte, on m’indique de prendre la deuxième allée pour rejoindre mon siège en 11K. D’ailleurs, quand je regarde ma réservation originale, je remarque que j’avais sélectionné le siège 11C, j’ai donc été déplacée en 11K à la suite du changement de cabine.

Je constate tout de suite que je suis bel et bien dans la nouvelle cabine. Pour une fois que j’ai de la chance ! Au moment où je ne m’y attendais pas du tout, en plus. Je suis vraiment trop contente !
Sur mon siège se trouve, comme à l’accoutumée, un coussin, un sur-matelas et une couette.

La console est à ma droite, elle est équipée d’une zone de chargement sans fil. Il y a un rangement en dessous, mais il est vraiment petit. Le casque et des prises USB et électriques s’y trouvent.
La trousse de confort est déjà déposée sur la console marbrée, elle contient toujours les mêmes produits de la marque ESPA (masque de nuit, brosse à dents et dentifrice, crème pour les mains, pour les lèvres, une brume et des boules Quiès).
Le verre de bienvenue est aussitôt proposé, pour ma part, point de champagne en cette heure matinale, j’opte pour le jus d’orange.

Le menu est disposé près de la petite veilleuse. Pour la bouteille d’eau, il faudra aller la chercher dans un petit compartiment caché.
Alors que je prends place dans cette nouvelle cabine toute neuve, équipée de portes, l’hôtesse vient se présenter à moi. Elle me demande ce que je souhaite comme apéritif et si je souhaite déjeuner après le décollage. Elle me laisse le temps de prendre connaissance du menu et reviendra après le décollage pour prendre ma commande. Pour l’apéritif, je choisis un cocktail à l’orange que je n’avais pas encore testé.
Un oshibori est distribué, suivi d’une paire de chaussons bien confortables.
À 9h25, notre commandant de bord nous souhaite la bienvenue et nous annonce une durée de vol de 6h15. La première partie risque de rencontrer quelques turbulences, la suite sera plus tranquille.
Alors que l’embarquement se poursuit, le vieux appareil MH à côté de nous s’en va et laisse sa place à SQ.
La cabine est presque pleine, il ne reste qu’un seul siège libre.
Il est l’heure de partir. À 9h34, nous repoussons. La ceinture est à trois points, ce n’est pas ce que je préfère.
Les consignes sont diffusées sur l’IFE, d’abord en anglais, puis en arabe.
Nous faisons la file pour accéder à la piste. Notre commandant nous explique que nous sommes cinq appareils à attendre le départ, dont trois devant nous, ce qui va nous faire patienter encore une dizaine de minutes.
Il est 10h08 lorsque nous quittons Kuala Lumpur.

Le début de la montée se fera dans d’épais nuages.
L’IFE est encore plus actuel que le précédent modèle. Ici on a la possibilité de contrôler son contenu avec son propre téléphone, il suffit de se connecter au Wi-Fi. Je découvre aussi que j’ai le Wi-Fi gratuitement. Bizarre.. mais cool, très cool !
Il y a également une fonctionnalité permettant de connecter son propre casque Bluetooth.
La sélection de films, séries et musiques est toujours aussi fournie, il est aussi possible d’appeler les PNC, de signaler qu’on ne souhaite pas être dérangé, etc., depuis l’IFE.
À 10h40, on me dépose mon apéritif, mon cocktail à l’orange ainsi qu’un ramequin de noix de cajou et d’amandes chaudes.
Sur la console, un chargeur sans fil est disponible, mais il ne cesse de se déconnecter, alors je préfère utiliser les prises USB A et C qui se trouvent dans le petit compartiment. Ils ont pensé à tout, même à laisser une fente pour laisser passer le câble.
Les commandes du siège sont sur le côté, mais ce n’est pas gênant.
La connexion Wi-Fi cesse malheureusement vite de fonctionner, je n’en aurai pas profité longtemps.
Le contrôle des hublots fonctionne et permet automatiquement de régler l’obscurité.
L’heure tourne et je constate que les portes ne sont toujours pas débloquées. Lorsque je demande à mon hôtesse, elle semble étonnée, me dit que c’est un peu difficile et essaie à son tour. Elle tente sur d’autres sièges, sans succès. Elle s’absente un instant et revient me dire que les portes ne peuvent pas se fermer pour des raisons de sécurité. Dommage. Cette cabine est sublime, vivement que tout soit homologué sur 787.
Je suis un peu déçue, mais je dois dire que l’intimité est telle que ce n’est vraiment pas si grave.
Un joli mood lighting apparaît en cabine, et le service débute. La tablette se met en avant et peut se déplier en deux, mais aussi se pousser pour pouvoir sortir durant le service.
La nappe en tissu est dressée et l’entrée est apportée dans la foulée, quelques minutes avant midi (heure de Kuala Lumpur). J’avais choisi Arabic Mezze, c’est accompagné d’une petite salade, d’un pain et d’un beurre. Les quantités étaient bien appropriées et je trouve toujours le combo sel et poivre très élégant.
Le plat arrive quelques minutes après, pour ma part, le Chicken Kofta. Je termine mon dîner par la glace à la vanille.

Il est 12h45 quand je suis débarrassée. Le service a été efficace et rapide cette fois
La cabine passe en mode nuit et tout s’assombrit, il est 13 h, heure de Kuala Lumpur. Les hublots deviennent bleutés et la cabine s’éteint.

Je m’installe en mode semi-allongé pour regarder deux films. Je trouve la boîte à pied assez étroite par rapport à l’ancienne cabine, mais je suis bien installée pour pouvoir me détendre.
Il y aura quelques secousses, mais aucune turbulence notable durant le vol.
Environ 2h avant l’arrivée, je demande un ice cappuccino et un cookie. Ce dernier était meilleur que la madeleine que j’avais essayée l’autre jour. Le café, lui, ne sera pas tellement glacé, mais juste tiède.

Il est 15h15, heure de Kuala Lumpur, notre arrivée est prévue dans 1h26.
On vient me demander si je souhaite autre chose avant l’atterrissage, mais je décline, j’avais un peu anticipé.
Le Wi-Fi refonctionne, alors je m’en donne à cœur joie tout en faisant quelques jeux sur l’IFE.
La cabine reste très calme, ce n’est qu’à 16h, heure de KL (12h heure d’Abu Dhabi) que le commandant de bord nous annonce que nous débutons notre descente. Notre arrivée est prévue à 12h40, heure locale.
Un oshibori est distribué, et aussitôt après, les paysages désertiques commencent à apparaître par le hublot.
Une vidéo sur l’aéroport d’Abu Dhabi est diffusée sur les IFE, elle présente le lounge et les différents services.
Nous nous posons à 12h48, heure locale, sous la chaleur d’Abu Dhabi. Mon téléphone affiche 41°C… Oups, ça va être sympa dis donc ma journée d’escale. Notre roulage est très rapide, il est à peine 12h55 lorsque nous venons nous stationner au contact.
Le débarquement s’effectue avec une petite musique d’ambiance. Je me retrouve vite dans les longs couloirs de l’aéroport que j’avais quittés il y a 10 jours. C’est parti pour une nouvelle escale de 15h à la découverte d’Abu Dhabi.
J’arrive au niveau de l’immigration avec tous ses portiques et, vu que je suis déjà entrée sur le territoire il y a deux semaines, je passe par la file « re-entry ». En quelques secondes, me voici à nouveau en territoire UAE.
Il faut passer un petit filtre, mais sans rien sortir de ses bagages, cela va plutôt vite. Je me retrouve au niveau du terminal des arrivées et, vu que je sais où aller, tout va plus vite. Je pars en direction de la consigne à bagages afin d’y déposer mon sac cabine.
Une fois cette bonne chose faite, aujourd’hui je ne m’embête pas avec les bus, je réserve directement un Uber. Il y a un endroit dédié pour les points de pick-up des Uber et des Careem, tout est très bien indiqué et il y a même une petite salle d’attente.

Pour débuter ma journée d’escale je décide de me rendre au Qasr Al Watan, il s’agit de l’ancien palais présidentiel. Mon chauffeur arrive très vite et nous prenons la route pour 40 minutes de trajet.
Je suis déposée devant l’entrée où deux files se séparent, une entrée pour ceux qui ont déjà leur billet et une autre pour ceux qui, comme moi, n’avaient pas anticipé leur visite. C’est en sortant de la voiture que je me rends compte de la chaleur qu’il fait, le soleil est insupportable sur ma petite peau blanchâtre.
Par chance, il n’y a personne au guichet à mon arrivée. L’entrée coûte 65 AED et il est nécessaire d’avoir les épaules et les genoux couverts. C’est bien mon cas, donc il n’y a pas de problème.
Pour accéder au palais, un court trajet en bus est obligatoire, car il se trouve assez éloigné. Durant le trajet, quelques informations sont données oralement. Ce palais sert encore aujourd’hui de lieu de travail pour le président des émirats arabes unis.
Après un court trajet nous sommes déposés devant le palais et je ne tarde pas à dégainer mon parapluie pour pouvoir aller voir le monument de plus près.

Le bâtiment est magnifique, avec une architecture islamique typique et de grands dômes en marbre blanc. D’ailleurs, le dôme principal est l’un des plus grands du monde avec ses 37 mètres de diamètre et 60 mètres de hauteur !

Après ce petit aperçu de l’extérieur, il est temps d’entrer. Je suis tout de suite subjuguée par la beauté des lieux, je ne sais plus où donner de la tête. Le plafond est rempli de dorures, c’est absolument magnifique.
Nous pouvons librement déambuler dans les différentes salles du palais.

Nous apercevons des salles fermées au public, mais qu’il est possible de voir via une porte ouverte, notamment une salle de banquet qui est absolument magnifique avec toutes les tables dressées.
Nous pouvons ensuite pénétrer dans la salle qui abrite la bibliothèque nationale. Un lieu vraiment magnifique.
Chaque salle nécessite de lever la tête pour profiter des magnifiques plafonds.

Quelques expositions sont accessibles, elles parlent notamment de la paix, c’est touchant de voir ça dans un lieu pareil.
La visite se clôture par l’accès au jardin où nous pouvons apercevoir les fontaines qui jaillissent, avec la skyline de la ville en fond.

J’ai vraiment adoré cet endroit, c’était une sublime visite. Le bus nous ramène ensuite là où il nous avait pris. Un petit café et quelques fauteuils sont à disposition pour ne pas se retrouver tout de suite en plein soleil.
Une fois revenue à mon point de départ, je réserve un nouveau trajet sur Uber pour aller me poser au Shake Shack, j’ai envie d’une bonne limonade et d’être un peu au frais.
Je suis donc de retour sur la corniche où j’étais déjà venue il y a deux semaines. Je me pose une petite heure, je réalise que je suis déjà crevée alors qu’il n’est que 16h30. Ça promet pour le reste de la journée !
Sur les coups de 17h, je réserve un Uber pour rejoindre la Etihad Tower où se trouve l’Observation Deck at 300. Le chauffeur mettra un petit moment à comprendre où se trouve l’entrée du bâtiment et c’est vrai que ce n’est pas très bien indiqué. En réalité, il faut aller à l’hôtel Conrad et ensuite prendre un ascenseur jusqu’au niveau P3. C’est le concierge à l’entrée du bâtiment qui m’a aidée à m’y retrouver, car il n’y a vraiment aucun panneau.
Lorsque j’arrive au guichet, on me demande si j’ai réservé. Au départ, je ne comprends pas, car il n’est pas possible d’obtenir son ticket en ligne, il est bien précisé que la vente ne se fait que sur place. En fait, il est possible de réserver pour les clients de l’hôtel, c’est d’ailleurs la première chose qu’on me demande. Aucun problème ceci dit, on prend mon nom et on m’indique qu’il m’en coûtera 95 AED. Sur cette somme-là, j’aurai le droit à un voucher de 50 AED pour prendre un verre ou un snack au sommet. Je trouve ça plutôt pas mal surtout que moi j’aime bien attendre qu’il fasse nuit.
En quelques secondes, je suis amenée jusqu’au 74e étage. La vue sur Abu Dhabi se dessine devant moi. On y voit toute la ville grâce à de grandes baies vitrées. Il y a pas mal de fauteuils et de petites tables pour se poser face à cette vue à 360°.

Je fais plusieurs fois le tour pour profiter de chaque vue sur l’immensité de la vile. D’un côté, on voit le golfe Persique, et de l’autre, les grands buildings de la ville se dessinent.

Je repère la grande porte située sur l’autre rive et il y a encore beaucoup d’endroits vides autour de nous, la ville a encore beaucoup de projets pour s’étendre.

Un jeune homme m’interpelle par mon prénom et me demande quelle table je souhaite. Je lui réponds que, pour l’instant, je fais un tour pour prendre des photos. Il me dit qu’il vaudrait mieux que je choisisse ma table maintenant, car des groupes vont arriver sous peu. Je choisis donc une table près des baies vitrées et lui indique que je viendrai dans 5 minutes.
Après un ultime tour, je vais m’attabler. Dans le menu, on trouve de tout, aussi bien du sucré que du salé, à manger et à boire.
Le jeune homme, très avenant, m’indique qu’il m’a installée face au coucher de soleil, et c’est vrai que ce dernier commence déjà à descendre dans le ciel.
J’opte pour un cocktail sans alcool qui coûtera exactement 50 AED, soit l’intégralité du montant de mon voucher. Au moins, j’ai bien rentabilisé mon billet.
À 18h30, le soleil commence à s’effacer dans le ciel. Je trouve toujours qu’ici, le soleil est très orange, et je le constate aujourd’hui encore en le voyant disparaître. À partir de maintenant, tout va aller vite, la nuit s’installe en quelques minutes.
En refaisant quelques tours, je vois le ciel devenir de plus en plus foncé et les lumières scintiller de plus en plus. Les grands buildings du centre et la porte de la Marina sont sublimes à la nuit tombée.


Il est 19h30 lorsque je décide de quitter les lieux. La descente sera très rapide, et je retrouverai l’extérieur en arrivant pile au niveau de l’arrêt minute. La commande d’un Uber ne traîne pas, le chauffeur arrive tout de suite.
Durant le trajet, il me demande d’où je viens et ce que j’ai visité à Abu Dhabi tout en me conduisant à destination.
À 20h précises, je suis déposée devant l’aéroport, au niveau des départs.
Je clôture le récit de cette journée ici. Pour découvrir les deux derniers vols, il faudra lire le carnet du 4 mai.

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