Voyage au Vietnam en solo [04.05.25 : Vol en A380 sur Etihad pour Paris et retour à Montpellier]

Je vous avais laissé au niveau des départs samedi soir. J’ai encore un petit chemin à faire avant de pouvoir accéder au lounge. Tout d’abord, il me faut récupérer mon sac qui se trouve à la consigne, au niveau des arrivées. Un petit coup d’ascenseur plus bas, et me voici à payer de nouveau 55 AED pour récupérer mon précieux bagage.
Je remonte ensuite au niveau des départs et retraverse le hall pour rejoindre le guichet A où se trouve le check-in pour la Business Class Etihad. Il n’y a absolument personne, je suis directement accueillie. J’indique que j’ai déjà mon boarding pass, mais la demoiselle m’en imprime un nouveau car la porte a changé. Je lui demande de conserver tout de même l’ancien, alors elle déchire un petit bout avant de me le rendre.
Si je passe par là, c’est pour pouvoir accéder à la PAF et au PIF ensuite, qui sont dédiés à la Business et qui sont donc complètement vides et calmes. Et ça, ça me convient parfaitement.
Je passe les formalités en quelques secondes et me voici airside, au milieu du duty free. Je suis les flèches vers les portes C, où se trouvent le lounge et ma porte.
Il est 20h25 lorsque j’arrive devant Bath & Body Works. J’avais noté ce petit arrêt shopping dans mon programme, car j’avais remarqué qu’il y avait une boutique dans le duty free. Moi qui prévoyais d’y aller en ville, ça m’a fait gagner du temps d’éviter ce détour.
Je fais mes achats et repars avec un nouveau sac de plus à transporter, comme si je n’étais déjà pas assez chargée.
Je poursuis ensuite mon chemin vers le lounge, que je rejoins cette fois très rapidement. Je ne sais pas trop quel chemin j’avais emprunté la dernière fois, mais j’avais sacrément rallongé. Ma porte est située en C29, donc juste à côté du lounge, qui est au niveau de la porte C27. Au moins, je n’aurai pas loin à aller.
Je suis accueillie avec un grand sourire, mais cette fois, il n’est pas nécessaire de me présenter le salon que je connais déjà.
J’arpente le 3ième niveau avant de monter au cinquième pour m’installer près du buffet, sur le « Roof Lounge ». Comparé à il y a deux semaines, il y a vraiment pas mal de monde ce soir.

Je parcours le buffet, mais il n’y a rien qui me tente, je suis juste fatiguée, je n’ai pas vraiment faim.

Je descends à l’étage inférieur pour prendre une douche, il y a une petite attente alors on me demande de patienter quelques minutes. Ça fait vraiment du bien entre deux vols !
Je trouve des canapés où me poser à cet étage, ça sera parfait pour me reposer tranquillement en attendant l’embarquement.
À 00h30, une notification sur mon téléphone m’informe qu’il est temps d’aller à la porte. Sur le FIDS aussi, il est indiqué de se rendre en gate C29. Je trouve ça un peu exagéré 2h avant, quand même. Je prends mon temps et j’y vais finalement peu de temps après. Je n’ai pas loin à aller, ma porte est juste à côté du salon.
La porte est ouverte et on peut d’ores et déjà pénétrer dans l’espace dédié. Un policier tamponne nos boarding pass après un contrôle d’identité, puis c’est une hôtesse qui les valide.

Des panneaux d’embarquement sont disposés pour séparer les passagers assis en A, B, C, D, E et ceux en F, G, H, J, K.
C’est à 1h40 que l’embarquement Business est oralement annoncé. Aucune vérification supplémentaire n’aura lieu pour entrer dans l’avion.
On nous demande de prendre l’escalator pour accéder au pont supérieur, quel plaisir ! En porte, l’équipage nous accueille mais ne cherche pas à nous guider à nos places. Il y a deux cabines Business et ma place en 22A se trouve dans la deuxième partie de l’appareil, dans une plus petite cabine de 6 rangs seulement.
À la différence du 787, un stockage est disponible sur le côté gauche. Je me souviens que c’était aussi le cas sur les A380 d’Air France en éco, pour les places situées à l’étage. C’est un très grand rangement, donc il est très pratique.

Le siège est le même que celui du 787 que j’avais sur le vol aller, il est dans le bon sens, mais je trouve l’IFE un peu plus loin, je ne sais pas si c’est une impression.
Sur mon siège se trouvent le coussin, le surmatelas et la couette toute douce. Le menu et la trousse sont disposés sur la console à ma droite. Elle contient la même chose que précédemment, mais je dois dire que je préfère le modèle proposé sur les vols vers AUH où la trousse a un format plus pratique que celle-ci, qui est carrée.
Dans le petit rangement du côté droit se trouvent la bouteille d’eau et le casque, comme d’habitude. Les veilleuses sont toujours aussi jolies et permettent de bien illuminer le siège quand il fait tout noir.
Sur la console, des prises USB A et C sont disponibles près de la télécommande et de l’écran tactile permettant de régler le siège et la lumière. La prise électrique est quant à elle située tout en bas du siège, près de la prise casque.
Un verre de bienvenue m’est rapidement proposé, au choix : de l’eau, du jus d’orange ou du champagne. Vu que je veux célébrer mon retour en A380, j’opte pour le champagne. À la vôtre !
Des chaussons sont distribués ainsi qu’un oshibori qui est très, très chaud.
Mon hôtesse du jour se présente à moi et me demande si je souhaite manger après le décollage ou si je veux dormir. Le menu présente un petit-déjeuner, j’opte donc uniquement pour ça et demande à le recevoir 2h avant l’arrivée.
L’IFE présente les mêmes films, séries et musique que dans les vols précédents.
À 2h20, on nous annonce que le boarding est terminé.

La tablette est disposée sur le côté du siège, tout comme sur le 787, elle est un peu difficile à ouvrir, je trouve.
Les hublots disposent de commandes pour contrôler les stores, mais contrairement au vol précédent, ici le passager n’a pas la main.
La ceinture est tout à fait classique, ce que je préfère.
À 2h33, les consignes de sécurité sont diffusées sur les IFE, d’abord en anglais puis en arabe. Elles sont adaptées à l’A380, ça me fait plaisir de voir ça, ça m’avait manqué.
La cabine J semble pleine sur ce vol, et les détails qu’il y a au plafond et à l’entrée de la cabine (une sorte de projection) sont vraiment très classe.
Le commandant de bord prend la parole pour nous souhaiter la bienvenue à bord. Il nous annonce une durée de vol de 6h45 seulement. Nous allons bientôt pouvoir partir.
Il est 2h45 lorsque le pushback a lieu. La lumière de la cabine se tamise.
C’est dommage car on ne peut pas gérer l’arrivée de l’air en comparaison de la cabine précédente.
On entend les communications dans le cockpit, je ne sais pas trop ce qu’ils se disaient en arabe, mais je crois que ce n’était pas destiné à nous, les passagers.
Notre roulage sera assez long et ce n’est qu’après 15 minutes que nous arrivons devant la piste. Je profite de la caméra pour regarder notre appareil s’élancer.
Il est 3h10 heure d’Abu Dhabi lorsque nous décollons. Nous survolons les grands buildings avant de monter dans la nuit noire. Je ne me souvenais pas que la montée d’un A380 était si longue.
Une fois les consignes de sécurité éteintes, je vais faire un tour dans le bar pour voir à quoi il ressemble. Il est situé à l’avant de la première cabine Business, alors ça me fait une bonne balade. Il n’y a personne et c’est tout sombre, c’est dommage. En tout cas, l’espace a l’air vraiment très chouette et agréable.
Je tombe de fatigue, je ne lutterai pas plus longtemps. L’ensemble de la cabine fait de même, ça sera donc très calme pour dormir.
À mon réveil, nous arrivons au-dessus de la Grèce. J’ai tout de même bien dormi (j’en avais besoin !). Il est 6h, heure d’Abu Dhabi. Durant ma courte nuit, il y a eu pas mal de turbulences, j’ai dû dormir attachée, mais cela n’était pas gênant car j’avais trouvé une position confortable.
Durant mon sommeil, les hublots ont été obscurcis.
Je retombe dans un court sommeil pendant une petite heure. À mon deuxième réveil, la consigne des ceintures est de nouveau allumée et les hôtesses passent vérifier que tout le monde est attaché.
Cette fois, je me réveille vraiment. Je constate que mon casque a une oreillette HS (encore !). Je demande à le faire changer, le second sera le bon !
À 7h30, l’hôtesse passe me voir et me demande si je souhaite prendre mon petit-déjeuner maintenant. Je réponds par la positive, elle me demande alors ce que je souhaite. Il y a pas mal de choix dont du sucré. Je prends des céréales avec du lait écrémé, des viennoiseries et des fruits. J’accompagne ça d’un cappuccino glacé.
Une deuxième hôtesse me voit réveillée et me demande également si je souhaite prendre mon petit-déjeuner. Ne vous battez pas, surtout !
Ma table est dressée avec une nappe en tissu et mon plateau est déposé. Il est bien complet avec du beurre, de la confiture, un croissant et une viennoiserie non identifiée.
Je demande du sucre pour accompagner mon cappuccino, il me sera ramené avec une touillette. Cette fois, le cappuccino glacé est bien rempli de glaçons.

Je suis débarrassée quelques minutes après avoir terminé, ça ne traîne pas aujourd’hui.
Il reste 1h45 de vol, je décide de retourner faire un tour au bar. J’y trouve une jeune femme qui boit un chocolat chaud et qui essaie de charger son téléphone tant bien que mal. Nous engageons la conversation et faisons connaissance. C’est marrant de parler avec des gens rencontrés dans l’avion. Elle est indienne et vient pour le boulot à Paris, elle va ensuite partir en vacances en Italie. Le bar est l’espace parfait pour échanger !

De retour à ma place, alors que la cabine se réveille doucement, je me mets un dessin animé, ça passe toujours bien, peu importe l’heure.
Les hublots sont toujours fermés sans possibilité de les ouvrir, alors qu’il ne reste qu’1h20 de vol. Snif.
Pour une raison que j’ignore, mon film s’arrêtera en plein milieu en indiquant que le service n’est pas disponible.
À 9h05, le commandant nous indique que nous allons débuter notre descente sur CDG. Notre arrivée est prévue avec 10 minutes d’avance si tout se passe bien avec le contrôle aérien. À l’arrivée, seulement 14°C nous attendent à Paris.
À 9h15, nous débutons effectivement notre descente sur la capitale.
Un oshibori est distribué et les caches se retirent des hublots.
Pendant que j’ai encore le temps avant l’arrivée, je repars faire quelques photos du bar et j’y retrouve mon amie indienne. Nous papotons un bon moment avant de repartir à nos places lorsque l’ordre est donné de boucler les ceintures. Un joli mood lighting accompagne notre descente.

Pour ma part, je me mets sur la caméra du dessous pour apercevoir les premières vues de la région parisienne.

C’est à 7h55 que nous touchons lourdement terre. J’avais oublié qu’on était si lourd !
Notre roulage est rapide, une musique accompagne notre attente avant que nous ne soyons libérés.
Dernier regard sur mon joli A380 ! Belle bête, n’est-ce pas ?

Nous débarquons au beau milieu du T1 et prenons tous la direction de la PAF. Une file prioritaire est disponible, les passagers Business sont envoyés dedans. La file redirige vers le contrôle de police manuel, c’est curieux. Une dame passe finalement dans la file pour dire que si nous avons un passeport français, nous pouvons aller au PARAFES situé en amont.
Quand je vois comment ça se passe à Kuala Lumpur et à Abu Dhabi, je me dis qu’on a encore beaucoup de progrès à faire à CDG.

Une fois le PARAFES passé, je me dirige vers le carrousel. Alors que je suis sur un tapis roulant en direction du terminal, un message indique que les bagages en provenance d’Abu Dhabi seront livrés au tapis n°3.
À mon arrivée, ce sont les bagages du vol Qatar qui sont en cours de déchargement.
Il est 8h36 lorsque ma valise pointe le bout de son nez, avec quelques autres valises prioritaires.
Je file prendre l’ascenseur pour rejoindre le Val. Ce dernier sera bondé.
Quand on entend « En raison de l’urgence attentat, veuillez signaler tout colis ou objet qui vous paraîtrait abandonné » ou encore « Des pickpockets peuvent être présents dans votre train » dans le Val, ça fait tout bizarre. Ce pays est tellement anxiogène.
L’escalator pour rejoindre les départs du 2F est inaccessible, on est donc tous redirigés vers l’ascenseur. Merci Paris Aéroport…
Arrivée au niveau des départs, je prends le temps de m’installer dans un coin pour refaire ma valise. Je dois ranger mes achats duty-free et quelques autres petites choses que je n’ai plus besoin d’avoir sur moi.
Il est 9h10 quand je me retrouve devant le comptoir Sky Priority d’Air France. Il n’y a personne et pourtant plein de guichets ouverts. Je demande avec humour « Qui veut s’occuper de moi ? », ce qui fera sourire l’assemblée.

Je récupère le dernier boarding pass de ce voyage et fais partir ma valise pour la dernière fois dans les profondeurs de l’aéroport. J’espère qu’elle va arriver à aller jusqu’au bout de ce gros routing, ça serait bête que ça déconne maintenant, quand même.
Le passage du PIF prioritaire sera très rapide, et avec humour. On me demande de sortir absolument tout l’électronique de mon sac, je plaisante en disant que c’est mon 4ᵉ PIF du week-end et qu’habituellement je n’avais pas retiré autant de choses de mon sac. Le type me répond que c’est parce qu’ici, il n’y a que des vieux scanners qui ne voient rien. En 2026, cela devrait changer, mais il me dit « enfin, sauf si c’est comme les lignes TGV de chez moi qui devaient arriver à l’aéroport ». À suivre donc.
Une fois cette étape passée, il est 9h25 lorsque j’arrive devant le lounge.

Il y a pas mal de monde pour un dimanche matin. Je me prends quelques viennoiseries et de quoi boire, puis vais me poser à l’étage, qui, comme toujours, est un peu moins peuplé.

Je constate qu’aucune naproom n’est disponible, je décide donc d’aller me doucher en attendant. Les douches sont en libre accès ici, il suffit de scanner le QR code présent sur la porte, devant la salle de bain qu’on choisit.
Je prends une bonne douche qui fait du bien après 7h dans un avion. Vivre dans les lounges et les aéroports c’est cool, mais j’ai hâte de retrouver ma salle de bain et mon lit, quand même, lol.
Je vais me poser et traîner un peu sur mon téléphone, il n’est que 10h30, j’ai encore du temps à tuer.

En allant revoir s’il y a une naproom de libre, je tombe sur quelqu’un qui en libère une à l’instant. Super !
Je passerai les 2h qu’il me reste ici, à regarder quelques replay en me reposant. Le plus dur étant de ne pas m’endormir.
Je reçois une alerte de la ville de Montpellier me prévenant d’un épisode méditerranéen en approche et donc du déclenchement d’une alerte jaune. L’atterrissage va être sympa encore une fois, je sens !

À 12h30, mon application me dit de me présenter en porte. C’est bien trop tôt, moins je passe de temps dans le bordel du 2F et mieux je vais. Je traîne un peu et pars vers 12h45 en direction de la porte F53.

Il y a déjà beaucoup de monde qui attend, debout, l’embarquement. Ce n’est pas une file qui se forme mais un entonnoir, comme toujours. Mais qu’est-ce qu’ils ont en France avec ça…
À 13h05, comme prévu, l’embarquement SkyPriority débute, et nous sommes nombreux.
L’accueil à bord est moyen, ils ne semblaient pas prêts à nous voir arriver.

Je prends place dans cet A320 en 5A, il y a 3 rangs Business aujourd’hui. Le vol a l’air complètement full, car je me retrouve avec une voisine qui a un billet R1.
Un couple arrive à bord et commence à sortir nos affaires du rack à bagages. Mon voisin M. 5C a mis son sac à dos sur sa valise dans le rack, et visiblement, ça ne plaît pas à ce couple qui est en train de tout sortir pour y glisser leur gros sac à dos. Je les vois sortir mon sac également, alors je ne peux pas m’empêcher d’intervenir en leur disant de laisser mon sac là et de ne pas y toucher. Ils me disent que le sac à dos n’a rien à faire là, mais M. 5C (à l’allure d’un homme d’affaires) ne compte pas en rester là, il attrape son sac et le remet sur sa valise. Ambiance.
Le couple s’installe au rang de derrière en râlant.
Nouveau problème, une dame se présente à ma voisine en 5B et lui dit que c’est sa place. Les deux boarding pass affichent bel et bien 5B. Une PNC intervient et indique qu’il y a eu une double attribution au sol, mais que ça va être réglé. Finalement c’est la dernière arrivante qui est reléguée au fond de l’appareil. Après tout ce bordel, l’embarquement se termine enfin.
À 13h30, le commandant de bord nous souhaite la bienvenue et nous indique un temps de vol de 1h05 aujourd’hui. À destination, le temps sera moyen, assez nuageux et avec seulement 11°C.
À 13h40, nous partons en roulage alors que les consignes de sécurité sont dispensées par les PNC. C’est enfin à notre tour de nous élancer, il est 13h50 quand nous quittons le tarmac parisien.

Nous survolons le 2G avec tous ces petits Embraer en faux contact.
Je teste le Wi-Fi, sans succès, comme souvent.
Les rideaux séparant les deux classes sont fermés une fois notre altitude de croisière atteinte.
À 14h10, le service débute avec, au choix, une collation sucrée ou salée. Ça ne m’avait pas manqué, ça ! Je demande de l’eau et on me donne la petite bouteille Thonon, voilà quand même un bon point.

À 14h30, le commandant de bord nous indique que notre descente va bientôt débuter. Nous devrions arriver à 14h45, en avance donc. Le temps est toujours couvert et la température fait le yoyo avec 17°C actuellement.
Nous avons quelques turbulences assez fortes durant quelques minutes, comme souvent sur cette route.

Tout est gris dehors, il va être difficile de voir la descente sur la région avec un temps pareil.
Les paysages de Montpellier commencent à apparaître entre deux nuages, mais on constate vite que le temps est très chargé.

Il est 14h55 lorsque nous nous posons à MPL, le roulage est toujours très rapide et nous regagnons notre point de stationnement moins de 5 minutes après.
Nous prenons tous congé de notre oiseau du jour sous les salutations de l’équipage.

Je pars en direction des tapis à bagages pour retrouver ma précieuse, qui m’a suivie tout au long de ces 10 vols.
Elle sort dans les premières, il est 15h11, c’est parfait, je suis dans les temps pour prendre la navette de la demi.
À ma sortie, il pleut. Mince, je n’avais absolument pas anticipé ça. Me voilà donc à éventrer ma valise pour sortir une veste et un parapluie afin de regagner l’arrêt de bus.
À 15h30, la navette arrive et nous prenons le chemin de la gare TGV puis de la Place de l’Europe. Encore quelques mètres à parcourir avant de retrouver mon doux appartement, et cela marque déjà la fin de ce beau voyage.

C’est la fin de ce voyage coup de tête. Quand j’ai trouvé ce bon deal chez Etihad, je ne savais même pas dans quel pays je voulais aller au départ de Kuala Lumpur et je suis ravie d’avoir choisi ce si beau pays qu’est le Vietnam.

Ce voyage, c’était 2 semaines de vadrouille, la découverte de 3 villes au Vietnam, et d’Abu Dhabi. C’était 10 vols, 5 compagnies aériennes, dont 3 nouvelles.
C’était aussi la découverte de la nouvelle cabine EY sur 787 et le retour tant attendu à bord de l’A380.
À bientôt pour une nouvelle destination…

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