Voyage à Turin en solo [J4 : Mercato, Porta Palatina & Vols retour]
Pour mon dernier réveil à Turin, il est 9h15 lorsque j’ouvre un oeil. Ce matin, je prends le temps de refaire mes affaires et de fermer ma valise pour de bon. Une fois le check-out effectué et les taxes payées, je laisse ma valise en consigne.
Ce matin, je ne pars pas dans la même direction que les deux jours précédents. Je regagne la Piazza Statuto non loin de là.
La place est mignonne, quelques touristes sont présents pour la prendre en photo également, malgré le soleil de plomb.


Mon étape d’après est un peu moins drôle mais pourtant nécessaire. Je devais chercher une boîte aux lettres pour expédier ma carte postale, sauf que je n’en ai vraiment pas trouvé en ville. Du coup, je me suis redirigée vers un bureau de poste qui était à proximité. Surprise : arrivée au bureau de poste, je ne trouve aucune boîte. On me dit qu’il faut prendre un numéro et attendre son tour pour expédier du courrier. Je trouve ça un peu stupide sachant que j’ai déjà un timbre et qu’il suffit de glisser ma carte dans la pile des courriers à envoyer, mais je me plie à la règle. Finalement, au bout de 15 minutes d’attente, une jeune femme vient me voir pour me dire qu’elle va s’occuper de la carte et que je n’ai pas besoin de rester. Bon, j’ai perdu du temps pour rien au final, elle aurait pu me le dire avant, mais bon.
Après cette bonne chose de faite, je pars en direction du Mercato Centrale situé au nord de la ville. En chemin, je tombe sur le Santuario della Consolata, une magnifique basilique.
J’arrive finalement devant le Mercato, un grand bâtiment qui se dresse au milieu des stands de marché plus traditionnels. Je dois dire que je ne me sens pas trop à l’aise dans ce quartier, la fréquentation n’est pas la même que dans le centre historique. J’entre dans le Mercato et découvre un lieu unique auquel je ne m’attendais pas du tout.

Le marché n’est pas très fréquenté. Il y a pourtant plusieurs boutiques ouvertes, pour déjeuner ou y faire ses courses en produits frais. Un étage est accessible via un escalator ou une pente douce, mais les boutiques de l’étage sont moins intéressantes.
Au centre du marché, on trouve quelques structures archéologiques des anciennes glacières souterraines. C’est assez original, tout comme l’entièreté de ce bâtiment très moderne.

Après une courte visite, je ressors du Mercato pour remonter dans le centre.
Le marché autour bat son plein, des fripes à 1€, des fruits et légumes, des objets inutiles, un vrai marché en somme.
Mes pas me mènent non loin de la Porta Palatina, alors je vais y faire un détour.
La Porta Palatina est l’un des vestiges romains les mieux conservés d’Italie du Nord. Elle servait de porte d’entrée à la ville de Turin. Un parc s’y trouve à proximité, on peut donc tranquillement s’y promener et se poser au milieu des vestiges.

Juste à côté, je remarque la Torre Campanaria Duomo di Torino. Il est difficile de la rater : il s’agit de la tour-clocher de la cathédrale di San Giovanni Battista.
Il est 12h30, alors après avoir traversé la Piazza Castello, je me rends dans un petit restaurant que j’avais repéré hier, qui propose des focaccias. Ça avait l’air bon, alors c’est l’occasion d’essayer. J’ai un peu de mal à prononcer le nom du fromage local, mais on ne m’en tiendra pas rigueur. En guise de dessert, j’opte pour une autre spécialité locale : des fugassins au Nutella. Bon, il y en avait vraiment beaucoup trop, mais c’était plutôt bon.
Je termine mon repas avec un bubble tea et me promène un peu dans les ruelles. Je décide de prendre le chemin de l’hôtel en passant par les plus petites rues au lieu de longer les arcades. Je découvre d’adorables endroits un peu cachés.
En chemin pour l’hôtel, je m’offre un dernier souvenir dans une petite boutique et je prends définitivement la direction de l’hôtel.
Il est 14h20 lorsque je suis de retour à l’hôtel. Je récupère mon bagage et pars en direction de l’arrêt de bus en face de la gare Porta Susa. Un panneau d’affichage clignote, je ne parviens pas à lire le numéro de l’arrêt où mon bus va s’arrêter, mais je n’ai pas le temps de me poser la question, ce dernier arrive au même moment.
J’avais pris de la marge car je ne savais pas trop si je n’allais pas galérer à monter dans le bus. En effet, il part de Porta Nuova, donc le risque, c’est qu’il soit déjà plein en arrivant ici. Finalement, le bus s’arrête bien, il reste des places, ouf. Ma valise sera déposée en soute, ce qui ne m’enchante pas trop, j’avais pourtant pu monter avec à l’aller.
Il est 14h38 et nous partons en direction de l’aéroport. Le trajet sera direct. Je vais être très en avance, mais ce n’est pas grave (comme toujours…).
Durant le trajet, les Alpes se devinent autour de nous. Le panorama est magnifique, j’espère que j’aurai la chance de les survoler avec un ciel dégagé tout à l’heure.
Il est 15h05 lorsque nous sommes déposés au niveau des départs. La police est très présente devant l’aéroport, alors je fais profil bas au niveau des photos.
Il n’y a pas grand monde dans ce petit hall. Je me pose sur un des nombreux fauteuils pour réorganiser un peu ma valise et mon sac à dos. Il y a des choses que je n’ai plus besoin d’avoir sur moi, alors autant qu’elles soient dans ma valise au lieu d’être sur mon dos.
Le hall n’est vraiment pas grand, seul le guichet pour Ryanair est ouvert, tous les autres sont fermés et il n’y a aucune borne non plus. Zut alors. Après renseignement, on m’informe que le guichet Air France ouvrira 2 h avant le vol, donc à 17 h. Je vais vraiment attendre 1h30 ici juste pour récupérer mon boarding pass papier (auquel je tiens quand même…) ? Vu que je n’ai pas de bagage en soute et que j’ai mon boarding pass sur mon téléphone, je n’ai en réalité pas besoin d’attendre.
Bon, finalement, je me décide à passer la sécurité en espérant pouvoir faire imprimer mon boarding pass en porte. Il est 15h25, je serai bien mieux dans le lounge qu’ici.
Je passe par la file prioritaire qui est déserte, mais il faut dire que la file classique n’est pas très remplie non plus.
Ici, inutile de sortir quoi que ce soit, ni les liquides, ni le matériel électronique. Si ça pouvait être partout comme ça, ce serait vraiment génial !
Je me retrouve airside moins de 2 minutes après. Le duty free disperse une lourde odeur de parfum dans les airs, ce n’est pas très agréable.
Une fois traversé, je suis face à l’ascenseur qui permet de monter au Piemonte Lounge.
Après présentation de mon téléphone, on me salue en français. Le lounge est bien entendu multi-compagnies et, vu le prix d’accès proposé (32€), je ne m’attends à rien de fou. À l’entrée, des casiers sont disponibles pour y déposer nos bagages et sacs duty free.
L’ambiance est un peu bizarre. Au bar, on m’observe faire des photos du buffet, alors je fais au plus vite.

Le lounge est divisé en deux parties, le côté droit étant plus climatisé que le côté gauche. Je me pose à gauche car il n’y a presque personne et je me trouve une place près de la baie vitrée.
Dans l’autre salle, le barman est là pour servir les cafés, thés et autres boissons chaudes. Je me prends un thé ainsi qu’un verre d’eau à la fontaine. Des verres en plastique sont proposés, ça ne fait pas très business lounge…
Rajoutons à cela quelques travaux dans les environs qui nous font entendre des perceuses toutes les 15 minutes. Je regrette presque le terminal des départs.
Le buffet ne casse pas trois pattes à un canard, et je vous passe les assiettes en carton.
Heureusement, la vue rattrape tout. Nous avons une superbe vue sur les Alpes. Les hauts sommets se marient avec les nuages, voilà qui compromet à nouveau mon plan de faire des photos du Mont Blanc lors de mon vol.
Je me renseigne un peu sur mon vol de tout à l’heure, c’est F-HBLM qui va assurer la liaison jusqu’à CDG après avoir fait un aller-retour à Bari ce matin.
Un appareil Ryanair vient se stationner juste sous mes yeux, il se prépare à repartir pour Madrid avec un peu de retard. En regardant le FIDS, je vois que beaucoup de vols sont retardés, mais ils le sont tous à cause des rotations précédentes. J’espère pour ma part que mon vol va bien être à l’heure car mon transit à Paris est plus serré qu’à l’accoutumée, seulement 1h30, et un passage du 2G au 2F en prime.
De mon point de vue, je vois toute la préparation du vol Ryanair : le débarquement, l’embarquement, et de longues minutes après, le repoussage puis le roulage.
Un Eurofighter émirati fait son apparition sur la piste, escorté par de nombreuses voitures, et un peu plus tard, c’est un Lumiwings qui atterrit.

Je constate que le vol en provenance de Paris est bien parti à l’heure, c’est encourageant pour moi, et son arrivée est même prévu en avance. Mon vol, annoncé en porte 14 tout à l’heure, est maintenant prévu en porte 10.
Vers 18h05, je vois mon oiseau arriver, il est effectivement bien en avance, c’est parfait.

Mon Embraer 190 file se garer un peu plus loin devant le terminal. C’est mon signal de départ pour quitter le lounge. Je parcours l’étage afin de rejoindre l’ascenseur situé de l’autre côté et j’en profite pour passer aux toilettes (j’avoue, j’avais oublié avant de quitter le salon). Mauvaise surprise, même si les toilettes semblent propres, l’odeur n’est pas très attrayante et il n’y a pas de papier toilette. Mauvais point pour un aéroport pourtant petit avec peu de toilettes.
Le FIDS indique à présent que la porte de mon vol sera affichée à 18h15, mais moi je vois au loin l’empennage tricolore de mon Embraer. Finalement, ce sera bien la porte 10 qui sera retenue. L’ascenseur me fait descendre pile à cet endroit-là.
Il y a déjà une petite file pour les zones 1 et 2, et la file en serpentin est bien remplie pour les zones 3 et 4. Cela veut dire que les passagers Silver n’auront eu aucune priorité sur ce vol, ce n’est pas cool.
Vers 18h20, deux hôtesses arrivent et j’en interpelle une pour savoir s’il est possible de m’imprimer ma carte d’embarquement. Je prétexte que j’ai un vol ensuite et une batterie de téléphone bientôt à plat. Elle m’indique qu’elle va voir ça et reviendra me voir. Quelques minutes après, c’est chose faite, elle vient regarder mon nom et me ramène aussitôt le saint graal, ma carte d’embarquement en bonne et due forme avec mes deux vols dessus. Ouf ! J’ai cru ne pas avoir de souvenir à coller dans mon carnet concernant ce vol (oui, c’est grave haha).
À 18h30, comme prévu, l’embarquement SkyPriority débute. Comme en France, ici il est nécessaire de présenter une pièce d’identité pour embarquer. Nous sommes priés d’attendre dans la passerelle, et c’est au bout de quelques minutes que nous pouvons finalement rejoindre notre avion.
L’accueil à bord est bien évidemment en français, et ça fait plaisir. Je prends place en 4F et un voisin trouve rapidement sa place à mes côtés. Le vol sera full ce soir pour rejoindre Paris.
Alors que le chargement des bagages se poursuit, à côté de nous, un appareil de chez Air Dolomiti se prépare au départ.
Notre embarquement touche rapidement à sa fin et le service en J ne traîne pas. Une dame de l’aéroport monte à bord, fait un tour, puis repart en faisant le signe que tout est ok. À 18h50, nos portes sont fermées.
Dans les messages diffusés par les PNC, deux nouveautés sont apparues, l’interdiction d’utiliser et de charger les power banks, et l’interdiction de prendre en photo les passagers et le personnel navigant.
À 18h55, notre commandant de bord nous souhaite la bienvenue et nous indique que nous sommes presque prêts au départ. Notre temps de vol sera de 1h15 pour rejoindre Paris CDG, où un temps nuageux et 21 °C nous attendent.
Les consignes sont déroulées en italien puis en français, via une bande sonore. Il est 19h02 et nous repoussons. La dame qui était montée à bord plus tôt se retrouve sur le tarmac, s’éloigne de l’appareil et montre via un pouce levé que nous sommes prêts à partir. Nous partons au roulage quelques minutes après, et ce dernier sera très rapide.
À 19h09, nous quittons finalement la piste de Turin et opérons un beau demi-tour au-dessus de cette région très verte.
Aussitôt, les Alpes apparaissent par le hublot. Les montagnes sont illuminées par le soleil de cette fin de journée, le spectacle est saisissant.


Je ne devine pas le Mont Blanc car des nuages feront malheureusement rapidement leur apparition, mais je suis tout de même satisfaite de ce survol.
À 19h25, le service débute. Comme à l’aller, on nous distribue un sandwich tartiné à la crème de légumes. J’opte pour de l’eau en boisson, qui me sera servie dans un verre, alors qu’une dernière bouteille Thonon était pourtant toujours présente sur le trolley. Pas cool.
Vers 19h45, on nous indique que nous allons débuter notre descente sur Paris et que notre atterrissage est prévu à 20h05, avec une arrivée au parking à 20h10, soit 10 minutes d’avance sur l’horaire prévu (non, 20 en réalité !).
À 20h02, la cabine se prépare, notre atterrissage est proche. Comme on nous l’avait annoncé, le temps est effectivement très couvert sur la région parisienne. Notre commandant avertit les PNC du risque de turbulence, et dans la minute, quelques secousses se font sentir, mais rien de grave.
Il est 20h15 lorsque nous nous posons sur le tarmac de CDG. Notre roulage sera très rapide, nous serons au parking à 20h20, à côté d’autres Embraer, dans l’attente de la mise en place d’une passerelle. Nous avons bien 10 minutes d’avance au final. Pendant ce temps, ça ne chôme pas à côté, notre soute est déjà en train d’être déchargée.
Comme à l’aller, ce n’est pas un escalier qui est mis en place mais une pente en serpentin, très pratique avec une valise.
Je regagne le terminal afin de suivre le cheminement vers les correspondances. Très rapidement, je suis dans la salle d’attente du bus permettant de rejoindre le 2F. Il mettra quelques minutes à arriver, et il est 20h30 lorsque je monte à son bord. Certains sont en stress, leur vol avait du retard et ils doivent attraper un vol à 21h au 2F. Aïe, aïe, aïe.
Le trajet dure 9 minutes, et nous sommes déposés au niveau du sous-sol, près du Starbucks.
Il me suffit de monter l’escalator pour rejoindre les portes d’embarquement. Vu qu’il n’est que 20h40, j’ai le temps de rejoindre le lounge pour m’y poser rapidement. Je l’atteins moins de 5 minutes après.
Le salon est très peu peuplé, ça fait bizarre de le voir ainsi. Le buffet restant est rassemblé au même endroit. Il faut dire qu’il ne reste plus beaucoup de vols et que le mien sera le dernier de la soirée.

En cette heure tardive, la lumière est magnifique dehors. Je m’attrape rapidement de quoi manger, et il sera déjà bientôt l’heure de repartir.
À 21h20, je prends le chemin de la porte F29, où doit partir mon vol. L’embarquement était prévu pour 21h30, mais à mon arrivée, je constate que l’embarquement pour Brest est toujours en cours, à cette même porte. C’est le dernier appel, et ils attendent toujours un passager avant de fermer la porte. Je me dis que notre vol va être retardé, vu qu’on doit partir de cette même porte.

Mais finalement, à 21h35, l’embarquement de Montpellier est malgré tout annoncé. Ouf ! Je suis la première à me présenter en zone 1 et 2.

On nous indique qu’il y aura un peu d’attente dans la passerelle, puis le contrôle d’identité est réalisé avant le passage du portique.
Finalement, nous n’attendrons que quelques secondes avant de pouvoir rejoindre notre appareil. L’accueil est souriant malgré l’heure tardive.

Je prends place en 4F dans cet A321 en version « planche à pain ».
Une voisine en 4D me rejoint. L’avant de la cabine n’a pas l’air très rempli, mais à l’arrière, ça semble assez complet.
Une équipe sportive étrangère prend place à bord et est légèrement bruyante… ça promet.
Notre chef de cabine nous souhaite la bienvenue vers 21h45, en indiquant à tous de rapidement prendre place afin que l’on puisse partir à l’heure. L’embarquement étant très long, cela me semble difficilement réalisable, mais bon.
Mon hublot est tout rayé, je tends donc le bras à l’avant pour pouvoir prendre de plus jolies photos de ma vue. Aucun risque de gêner quelqu’un : le rang 3 est entièrement vide. D’ailleurs, il n’y a pas non plus de rideau pour délimiter la Business. Le rang 1 compte 4 passagers, le rang 2 un seul, le rang 3 est vide comme je le disais, et de mon côté, je n’ai pas de voisin au milieu. Le reste du vol semble à 90 % plein.
Dehors, la nuit commence à arriver, il fait de plus en plus sombre.
À 21h55, on nous indique que notre embarquement est terminé. Notre commandant de bord prend la parole pour nous prévenir que nous sommes prêts au départ et que nous allons bientôt partir. Le temps sera bon sur le parcours ainsi qu’à l’arrivée, avec 24 °C à Montpellier.
Nous repoussons à 22h, puis partons au roulage 5 minutes après. Les consignes de sécurité sont dictées par l’équipage, et après un petit parcours au milieu de CDG, la luminosité est diminuée dans la cabine.
Nous quittons la capitale à 22h12 alors que le ciel nous offre de jolies vues sur l’aéroport.
Les dernières lueurs du jour se trouvent de mon côté, ce qui donne un joli panorama avec le croissant de lune dans le ciel.

Le Wi-Fi fonctionne à bord, c’est une bonne chose.
Une fois l’altitude de croisière atteinte, le service ne perd pas de temps, et vu qu’il n’y a aucun rideau, je vois la machine se mettre en place en Business.
Il est 22h30 et le trolley fait son apparition en classe éco, avec au choix la collation sucrée ou salée. Ce ne sont plus les mini flûtes en salé, alors je prends la madeleine. Pour la boisson, j’opte pour l’eau, qui me sera servie dans un gobelet. Zut, décidément sur ce routing on régresse.
À 22h50, on nous annonce déjà le début de la descente, avec une arrivée prévue en avance. Décidément, aujourd’hui j’aurai fait carton plein !
Les premières lueurs des fêtes foraines de la côte apparaissent, et après un demi-tour au-dessus de la mer, les lumières de la piste illuminent la nuit. On nous annonce un atterrissage imminent à 23h05, mais bizarrement, les lumières ne sont pas diminuées en cabine.
Il est 23h15 lorsque nous nous posons sur la piste montpelliéraine.
Notre roulage sera très rapide comme d’habitude, et nous serons au parking 3 minutes plus tard.
Rapide descente et traversée de l’aéroport pour rejoindre le parking où m’attend ma voiture.
Je suis chez moi 15 minutes plus tard, on peut dire que ce retour a été très efficace.
C’est la fin de ce petit week-end italien qui m’a fait le plus grand bien.